Paul Wacrenier Kalimba, Mbira, Likembe, Guembri, percussions, effects.
Karsten Hochapfel cello, electric guitar, portuguese guitar, effects.
Sven Clerx Percussions, Gongs, Bells, Tam, sleigh bells
The Archetypal Syndicate est un trio parisien participant à l’exploration d’une nouvelle musique de transe, ancrée dans les sonorités traditionnelles (guembri, lamellophones, guitare portugaise et percussions extrèmes orientales) et l’improvisation jazz, à l’instar de The Natural Information Society, 75 dollar Bill ou bégayer.
Un son à la fois organique, électrique et psychédélique, nourrissant de profondes improvisations perfusées aux énergies noise, rock et aux groove indéterminées.
Polyrythmie transcendante, minimalisme répétitif, timbres traditionnels,
envolées psychédéliques, et illusions spectrales, The Archetypal Syndicate est un spectrale rituel de transe du 21ème siècle pour une communication dansante, mélodique et entre tous les esprits vivants.
The Archetypal Syndicate is a Parisian trio involved in the exploration of a new trance music, rooted in traditional sounds but nourished by electric sounds, repetitive music, and explorations of free improvisation,
like The Natural Information Society, 75 Bill dollar or french band bégayer. The trio brings together three improvising musicians who put themselves at the service of a sound that is at once organic, electric and psychedelic, infused with noise, rock and indeterminate polyrhythmic energies.
Transcendent polyrhythm, repetitive minimalism, traditional timbres, psychedelic flights, and spectral illusions, The Archetypal Syndicate is a 21st century trance ritual for dancing, melodic and spectral communication between all living spirits.
"Ce projet est un tiers lieu où ils inventent autre chose, une musique aussi polymorphe et complexe qu'elle se donne en toute évidence. A mettre entre toutes les oreilles en quête d'ici et d'ailleurs" Jazz News, Pierre Tenne
« ça n'arrête pas parce qu'il n'y a pas de fin, on est dans l'instant durable ! parce que ces variations nous comblent, nous rassurent, surplombées par les cliquetis des petites percus. Entêtant, be oui, heureusement. La transe, l'oubli. Fermez les yeux. Planez. Un temps. »
Speed chronics – Anne maurellet
